Le contact avec la lumière est une grâce, pas un
objet de consommation.
Daniel Odier
Une vibration douce s’élève à
partir de mon bassin, tout le long de ma colonne vertébrale, elle caresse le
dos de mon coeur en passant et fait pétiller ma gorge. Tandis que mes paupières
tremblent et que mon corps frémit, mon coeur bat de plus en plus vite mais je
n’ai pas peur. J’ai l’impression qu’un souffle m’anime sans que j’aie à
respirer. Une lumière plane au-dessus de ma tête, elle me pénètrera si je sais
rester attentive. Je suis vivante, c’est tout.
Je suis rejointe par une énergie
essentielle qui se propage à travers toute chose à tout moment. Soudain, elle
s’amplifie. Elle résonne en moi comme un son de cloche un jour de noces. Je
suis vivante, j’en suis certaine, c’est tout simple.
J’aime me déposer dans cette lumière. Elle
m’appelle, elle me confirme comme si elle murmurait mon nom à mon oreille. Elle
me contient, elle m’ouvre, elle me prend, elle me subjugue et m’empêche de
fuir. La joie monte dans mon corps ouvert et accueillant, débordant de
reconnaissance pour l’amour généreux de cette lumière. Je ne doute pas un seul
instant de sa bienveillance.
Le
travail du septième chakra se déploie sur plusieurs dimensions à la fois,
pénétrant et embrasant l’infiniment humain et l’infiniment divin. Le mariage
final des dualités est une oeuvre d’art !
Présence, page 197
Merci Caroline. Moi qui suis inondée de la lumière de la F'oride!
RépondreEffacerGuy a été hospitalisé dès je 2e jour:infection rénale. Je vis ça comme une initiation difficile.