Rituels de guérison, suite

“La prière d’intercession et la guérison spirituelle, ainsi que d’autres expériences et pratiques fondées sur la force de l’esprit et l’intention, ont apporté des preuves impressionnantes concernant l’efficacité de la transmission d’informations et d’énergie télépathique et télésomatique. Ayant bel et bien des effets réels et mesurables sur les gens, ces pratiques sont de plus en plus répandues, mais le courant dominant de la science ne peut les expliquer.” ( Laszlo, Ervin. Science et Champ akashique, Éditions Ariane, 2005, page 53)

“Non seulement les gens peuvent communiquer avec l’esprit d’autres gens, mais ils peuvent aussi interagir avec leur corps.” (idem, page 51)

Les rituels de guérison tels que nous les pratiquons touchent aux énergies subtiles. Ils constituent un balayage de l’aura et un travail spécifique est fait sur certains points d’énergie dans un but de libération intérieure.

Pourquoi participer à un rituel de guérison spirituelle?

Nous avons besoin de travailler selon des rituels donnés.  Ceux-ci pavent la voie qu’emprunte l’énergie pour se rendre jusqu’au corps émotionnel de celui ou celle qui reçoit une guérison. Ils construisent aussi un écran protecteur contre des énergies moins élevées. Les rituels appellent les Êtres de lumière et les aident à cibler leur amour.

Chaque guérison est comme une mise en scène de l’inconscient de la personne qui la reçoit. Certaines parties émotionnelles sont rejouées par les médiums-guérisseurs pour dégager le corps émotionnel ou astral. Afin que le corps de souffrance s’apaise, certains de ses éléments sont joués à l’extérieur, comme dans un psycho-drame. Cela distrait le mental du récepteur.

“Les monstres qui se cachent dans notre ombre refusent la rédemption, mais réclament une éducation”, nous dit Ginette Paris dans La sagesse des larmes, paru aux Éditions de l’Homme en 2009. (page 134)

“Alors que l’approche médicale suggère de guérir les névroses, l’approche archétypique, elle, suggère plutôt de faire la rencontre de nos monstres, de faire connaissance poliment, prudemmment, avec une bonne dose de ruse.” (idem, page 135)

“Pour faire la connaissance des monstres de l’ombre, il faut les inviter à avancer vers le centre de la pièce, à présenter leur personnage et comme disent les maîtres de yoga, à savoir que l’on sait… je sais que vous êtes là dans l’ombre à me souffler des répliques.”(idem, page 137)  En travail de guérison, on leur dit qu’ils doivent cesser leurs ravages… On les a entendus, il est temps qu’ils se taisent. On fait cela en diffusant une douce vibration lumineuse dans certains lieux de réception du corps physique.

Un rituel de guérison favorise la projection par des Êtres de lumière de leur énergie lumineuse, solaire et lunaire. Jumelée au fluide plus dense des guérisseurs, cette énergie peut agir sur la matière cérébrale, corporelle ou émotionnelle, et l’alléger.

Il semble que le chaman ou le guérisseur énergétique, tout comme le psychanalyste, soit un explorateur émérite de la conscience et un créateur de sens. Par ses transes et ses rituels, il offre une représentation symbolique du déséquilibre, permettant ainsi une résolution symbolique de certains problèmes, parfois spectaculaire, parfois subtile, toujours efficace.