“The
practice of walking meditation opens your eyes to the wonders and the
suffering of the universe. If you are not aware of what is going on
around you, where do you expect to encounter ultimate reality?” (Thich
Nhat Hanh)
Marcher
dans la nature en souriant et en remerciant pour la beauté du monde
aiguise la conscience de la réalité de la vie dans sa perfection et ses
imperfections. L’extérieur est à l’image de l’intérieur, la nature est à
l’image de notre prope terre intérieure fertile et aride à la fois.
Comme à l’intérieur, la nature n’est pas que belle. Elle est remplie d’imperfections, des arbres courbés par le vent, meurtris par les intempéries, des plantes étouffées par d’autres plantes, des paysages dénudés et asséchés par l’âpreté du climat hivernal. Tout cela s’offre au regard en même temps que la grande beauté de la nature.
Comme à l’intérieur, la nature n’est pas que belle. Elle est remplie d’imperfections, des arbres courbés par le vent, meurtris par les intempéries, des plantes étouffées par d’autres plantes, des paysages dénudés et asséchés par l’âpreté du climat hivernal. Tout cela s’offre au regard en même temps que la grande beauté de la nature.
Le
mental est comme une terre fertile où ont été ensemencées différentes
sortes de graines : joie, compassion, paix, amour, colère, ressentiment,
haine, etc... Toutes les émotions existent dans l'humain comme des
milliers de graines différentes se développent sur la terre. Marcher
dans la nature d’un pas méditatif permet de renoncer à arroser les
graines les moins désirables et de faire le choix de cultiver les
graines reliées à un état plus élevé.
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